"C’est Tchékhov et Bergman réunis. Long, long et beau à la fois."Le Dauphiné Libéré
"Ce film superbe, dont on ne sort pas indemne, qu'on emporte avec soi pour ne le quitter jamais, provoque, en nous, de la peur et de la mélancolie : angoisse totale à l'idée d'être liés, même de loin, à tous ces personnages en perte d'eux-mêmes."Télérama
"(...) là où Etienne Chatiliez empruntait la voie royale de la comédie de mœurs, le Japonais Kore-eda explore le chemin bien plus escarpé du mélodrame intime, sur fond d’interrogations profondes sur les liens du sang. Il le fait avec justesse, élégance, sans le moindre pathos émotionnel, et son film est bouleversant du début à la fin."Le Parisien
"Un conte cruel dont la force résidait précisément dans la brièveté, dans une violence contenue et des silences magistralement servis par une mise en scène très maîtrisée. Mahamat-Saleh Haroun semble alors passer à côté de son film, tout en confirmant, il est vrai, ses évidentes qualités de cinéaste."Le Nouvel Observateur
"C'est remarquablement mis en scène, d'un réalisme radical, dénué de jugement, de clichés ou de voyeurisme. Et Marine Vacth (...) se révèle autant dans la douceur et la dureté que troublante dans les scènes de nus."Télé 7 Jours
"Des airs d’exposé didactique et redondant sur les conséquences de l’ultra libéralisme et dans lequel le mordant de "A Touch Of Sin" se noie irrémédiablement."CinemaTeaser
"A son rythme plutôt lent, le film déroule une histoire éternelle, celle des amants perdus qui voudraient trouver un paradis où (...) vivre heureux et tranquilles."Les Inrockuptibles
"Redoutable météorite cinématographique, cette comédie au cynisme érudit explose à l’écran en une pluie acide de pure intelligence. Rafraîchissant ! (...) Cette "Vénus à la fourrure" mérite d’être applaudie à s’en faire mal."Paris Match
""Inside Llewyn Davis" est grand (...), sa puissance évocatrice (...) et son ambition poétique – voire métaphysique – y trouvent un équilibre rare. (...) "Inside Llewyn Davis" ensorcelle tel un songe absurde qui, lorsqu’on croit en trouver la clé, nous échappe de plus belle."TéléCinéObs
"Sous cette apparente simplicité, le film, qui ne s’étend pas sur plus d’une semaine, charrie une série de motifs qui tissent la trame d’une écriture fine, précise, et d’une cohérence redoutable (parfois même un peu trop "bouclée")."Cahiers du Cinéma
"Abdellatif Kechiche présente, "La Vie d’Adèle", une œuvre magistrale et offre la découverte d’une jeune actrice extraordinaire, Adèle Exarchopoulos. Le cinéaste est parvenu au sommet de l’épanouissement, il a été justement distingué par la Palme d'Or."L'Humanité
"Etrange transposition d'une minisaison de série télé sur grand écran et en accéléré avec un filmeur doué et des actrices qui se donnent sans compter."Charlie Hebdo
"C’est calme, sourd et blanc, mais c’est aussi violent, déchirant et rouge. « Tender son, the Frankenstein project », c’est le film des paradoxes et des contradictions de notre monde."Abus de ciné