CARTEL 16 Novembre 2013 5
111 min.
"La réalisation chirurgicale de Ridley Scott (...), le flot ininterrompu de répliques qui tuent et le casting de caïds achèvent de rendre ce voyage au bout de l'enfer incontournable."Première
CARTEL 16 Novembre 2013 5
111 min.
"La réalisation chirurgicale de Ridley Scott (...), le flot ininterrompu de répliques qui tuent et le casting de caïds achèvent de rendre ce voyage au bout de l'enfer incontournable."Première
AU BOUT DU CONTE 15 Novembre 2013 -1
112 min.
"Est-il encore possible, aujourd'hui, de considérer ce petit entre-soi qui prend la forme d'une énième fable chorale (...) sans éprouver un sentiment de gêne ? (...) Si Agnès Jaoui sait filmer le poids des années sur sa personne, son cinéma de salon n'en apparaît que plus figé dans un non-lieu presque indécent de vacuité."Cahiers du Cinéma
GRAVITY 11 Novembre 2013 7
90 min.
"Un film unique dans l’Histoire du cinéma. Du jamais vu à voir impérativement sur un très, très grand écran. L’expérience sensorielle la plus aboutie jamais filmée. A la sortie, on envie déjà tous ceux qui vont la vivre pour la première fois."Ecran Large
OMBLINE 9 Novembre 2013 4
95 min.
"Ne tombant ni dans le mélo plombant ni dans le pamphlet social, ce premier film très prometteur doit beaucoup à la performance bluffante de Mélanie Thierry, nourrie par ses rencontres avec les détenues de Fleury Merogis."Metro
FRANCES HA 7 Novembre 2013 2
86 min.
"Voilà un film souvent charmant, qui sait capter l'air du présent tout en ne cessant de convoquer des souvenirs d'une autre époque (...) Baumbach a bien du mal à trouver une esthétique personnelle."Positif
INSIDE LLEWYN DAVIS 7 Novembre 2013 6
105 min.
""Inside Llewyn Davis" est grand (...), sa puissance évocatrice (...) et son ambition poétique – voire métaphysique – y trouvent un équilibre rare. (...) "Inside Llewyn Davis" ensorcelle tel un songe absurde qui, lorsqu’on croit en trouver la clé, nous échappe de plus belle."TéléCinéObs
"Sous cette apparente simplicité, le film, qui ne s’étend pas sur plus d’une semaine, charrie une série de motifs qui tissent la trame d’une écriture fine, précise, et d’une cohérence redoutable (parfois même un peu trop "bouclée")."Cahiers du Cinéma
SURVIVRE 1er Novembre 2013 4
96 min.
"A l'opposé de l'héroïsme hollywoodien, le cinéaste islandais Baltasar Kormákur ("Jar City") reconstitue la performance sans effets spéciaux."TéléCinéObs